Titre : | Les fleurs d'Alexandrie |
Auteurs : | Eglal Errera, Auteur ; Renaud Perrin, Illustrateur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Actes Sud, 2006 |
Collection : | Cadet |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7427-6037-4 |
Format : | 89 p. |
Langues: | Français |
Index. décimale : | RJ 9-11 TRO |
Mots-clés: | Egypte ; exil ; immigration ; identité ; jalousie ; Origine ; Orient |
Résumé : |
La famille de Rebecca, 14 ans, a quitté il y a quelques années Alexandrie pour Paris. Ils se sont difficilement adaptés à l’exil, et Rebecca se fait une joie de partir seule en vacances sur les lieux de son enfance. Seulement voilà, rien ne se passera comme elle l’avait imaginé : amies qui ont changé, amoureux parti, gens vieillis… Et Rebecca est finalement assez heureuse de retourner en France.
Après la mort (C’est la vie mes chéris !), l’amour (L’Eté des becfigues), l’exil (Les Premiers Jours), la narratrice Rebecca est ici confrontée au temps qui passe et nous fait évoluer. Rebecca est désormais une adolescente, elle a grandi de corps mais son esprit est encore lié à l’enfance égyptienne, idéalisée. A Alexandrie, elle va trouver les rues et les maisons beaucoup plus petits que dans son souvenir et seules les odeurs ne la déçoivent pas.Les changements chez ses proches sont exprimés finement par des détails physiques, des gestes nouveaux ou des habitudes disparues. La rencontre avec son ancienne meilleure amie est un véritable choc : Marina a choisi de balayer le passé et ne veut plus parler à Rebecca – elle reviendra sur sa décision. Quant à l’amour de L’Eté des becfigues, le nomade Dahoud, il n’est tout simplement plus là. Et c’est peut-être un mal pour un bien, car à son retour à Paris, Rebecca n’est plus une exilée : « Je pense que la France est en train de devenir mon pays et qu’il n’est pas interdit d’en avoir deux. » |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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31293 | RJ 9-11 ERR | Livre | AF DUBAI | Romans Jeunes | Libre accès Disponible |