Résumé :
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Le lecteur de ce deuxième tome l'espérait, son rêve est exaucé : au début du troisième, Lisbeth n'est pas morte. Ce n'est cependant pas une raison pour crier victoire. Soyons réalistes : très mal en point, Lisbeth va rester coincée des semaines dans une chambre d'hôpital, dans l'incapacité physique de bouger et d'agir. Coincée, elle l'est d'autant plus que pèsent sur elles diverses accusations qui la font isoler par la police. Un ennui de taille : Zalachenko, c'est-à-dire son père qui la hait et qu'elle a frappé à coups de hache, se trouve dans le même hôpital, un peu en meilleur état qu'elle... Et, soyons réalistes encore : il n'y a aucune raison pour que les activités souterraines de quelques renégats de la Sûreté ne continuent pas et que, pour rester cachés, ces gens de l'ombre n'aient pas intérêt à éliminer ceux qui les gênent ou qui en savent trop. Côté forces du bien, on peut compter sur Mikael Blomkvist, qui d'une part aime beaucoup Lisbeth mais ne peut pas la rencontrer, et d'autre part commence à concocter un sacré scoop sur les secrets d'Etat qui pourrait par la même occasion blanchir à jamais Lisbeth et l'autoriser à vivre en paix avec elle-même. Mikael peut certainement compter sur l'aide d'Armanskij, reste à savoir s'il peut encore faire confiance à Erika Berger, passée maintenant rédac chef chez la grosse concurrence...
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