Résumé :
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Sur un fond plutôt entendu de politique-fiction et d’espionnage, il travaille en véritable romancier et le lecteur réceptif (attentif ?) ne peut que s’en réjouir. Comme indiqué par son titre et son dessin de couverture, le regard joue une grande place dans ce second tome. Tandis que même son père ne semble pas voir qu’elle est à la tête d’une immense fortune provenant, probablement, de spéculations liées aux événements du 11 septembre 2001, Chamza se voit dotée d’un dispositif d’espionnage très élaboré, greffé à son insu lors d’un séjour forcé en hôpital. Chargés de suivre les faits et gestes de la jeune femme grâce à ce dispositif, des barbouzes américains, sont à l’affût de la moindre information. Cherchant à localiser cette manne financière et, accessoirement, à neutraliser l’homme dont elle est amoureuse, ces espions, dont le passé trouble les rend encore plus antipathiques n’agissent pas de leur propre chef. Qui donc finance cette opération aux moyens colossaux ? Et quel est le rôle de Lindsay, la jeune anglaise qui n’aurait jamais rencontrer Chamza, dans cette affaire ? Trilogie
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